Gustave Courbet  (suite 1)

L’Atelier du peintre.  Allégorie réelle déterminant une phase de sept années de ma vie artistique (et morale), 1855.

Un vaste monde de venues à la lumière par la primauté du fait de peindre selon une volonté créatrice ‘réaliste’. Or voici que le ressenti actuel porte à l’idée d’une œuvre faisandée  – mais, assurément, forme d’obscurité encore signée G. Courbet !

Haute peinture qui est par nature portée à la ‘ RESTAURATION ’  (commune)  « EN PLEIN CŒUR MUSEE ORSAY » après des (re)vernissages successifs aberrants…  

« Altéré, sans éclat, non lisible, etc. » (avant l’intervention), selon Ulule.com…  Après l’appel à un public participatif, on nous informe que le tableau va enfin être lancé  « en réalité augmentée qui proposera une expérience immersive sans précédent pour (re)découvrir le tableau ».  – Bravo !?  Diablement com ?!  Mais un peu cher si c’est au prix du Courbet !  (cf. le merci du M’O, en lien).

1. Suite à une mise à la question par le C2RMF, on me châtie en public.  
– Quel rêve ?!